vendredi 23 décembre 2011

Mon plus beau souvenir de Noël

Je  n'ai pas de souvenirs d'avoir vu le Père-Noël dans ma famille. Oui j'allais le voir au centre commercial, ou à la fête municipal, mais pas de "mon'oncle" déguisé le soir du réveillon, sauf quelquefois quand on joignait à la famille de ma tante.

Chez nous, le Père-Noël passait pendant la nuit, pour laisser des cadeaux sous l'arbre. Au matin, il y avait des surprises à développer pour mon frère et moi. On ne le voyait jamais, mais on était certains que sa  visite coïncidait avec notre sommeil.

Un certain réveillon, je devais avoir 4 ou 5 ans puisque j'ai un souvenir, mais il est très vague. Nous sommes chez mon oncle et sa copine qui nous reçoivent dans leur appartement pour une fondue. C'était à l'époque de Roland Hi Ha Tremblay, je me rappelle avoir joué avec les lunettes et le chapeau de papier joints à l'immense pochette de disque de vinyle. Nous étions donc à dépouiller les cadeaux sous l'arbre quand mon tour arriva. Après avoir demandé à tout le monde si ce cadeau venait d'eux, personne ne semblait savoir la provenance de l'emballage. Ils s'entendaient naturellement pour dire que c'était le Père-Noël qui l'avait laissé pour moi.

Dans l'emballage, un gros ourson blanc avec une boucle et une tuque rouges avec des lignes vertes et blanches. Il était même dans un sac de tissus, encore rouge, avec l'année inscrite dessus, soit 86 ou 87. Je l'ai baptisé Nicky. Nicky parce que mon petit frère venait de naître et il s'appelait Nicolas, le lien était facile à faire.

Ce soir là est donc arrivé dans ma vie, l'un des oursons les plus importants de ma carrière d'enfant, mais aussi un questionnement et un souvenir impérissable. Le Père-Noël est vraiment magique! Ce soir là, il savait à quel endroit j'allais être, même si je n'étais pas chez moi! J'étais franchement impressionnée!

Depuis quelques années, j'ai un court projet scolaire qui se nomme "Mon plus beau souvenir de Noël". Depuis quelques années, j'ai une feuille verte sur laquelle est écrite cette histoire, toute simple. Je la lis à mes élèves en amorce du projet. J'ai donc encore avec moi ce petit souvenir et j'ai encore avec moi un Nicky qui dort dans une boîte chez mes parents.

C'est maintenant à mon tour de créer les souvenirs pour mon fils. Il est encore jeune mais je sais qu'il n'est pas trop tôt pour commencer... La vérité arrivera bien assez vite!

Je profite donc de l'occasion pour vous souhaiter une belle fête de Noël. 
Que vous puissiez vivre des moments de qualité avec vos amis ou votre famille.
 Joyeux Noël mes chers lecteurs! 



mercredi 21 décembre 2011

Route musicale

La bonne chanson, au bon moment.

Un des plaisirs de me retrouver seule dans ma voiture est de pouvoir gérer la radio. Pas à me demander si je ne vais pas défoncer les tympans de mon fils ni avoir à me soucier de l'agression subite que je peux faire à mon chum ou à un quelconque passager.

Ce matin, retour de la garderie, un montage à la radio comme il y en a des millions.

Une chanson dit: Wooo ooo, Sometimes, I get a good feeling, yeah! le tout sur un air accrocheur.

Il n'en fallait pas plus pour que je me m'aperçoive que le volume était dans le fond et mon visage arborait un large sourire. Comme si cette chanson, arrivée par hasard dans ma voiture, allait teinter une partie de ma journée.

Je suis convaincue qu'à partir de maintenant, chaque fois que je l'entendrai, je me rappellerai ce matin tout simple de retour de la garderie, matin pendant lequel je vais faire le découpage de la peinture de la chambre de ma puce et en après-midi aller rafraîchir ma tête pour les fêtes. "I get vraiment a good feeling".

La musique a ce pouvoir de me transporter dans un moment, dans un sentiment. J'ai à faire un peu de route quand je travaille. Combien de matin ai-je essuyé une larme à cause d'une chanson touchante "pour moi"? Combien de fois ai-je écouté le même morceau 10 fois et me suis-je plains de l'avoir dans la tête pour le restant de la journée? Combien de matin ai-je préparé "LA CHANSON" que j'écoute du haut de la grande côte à descendre pour me rendre à mon école. Celle-là même qui, avec le soleil aveuglant de la montée vers le stationnement me donnait un air d'aller quelques instants plus tard?

Et vous, quelle est votre chanson ces jours-ci?


lundi 19 décembre 2011

À 1 coupe de vin

Je compte bien passer à travers cette difficile épreuve...

Mon problème: l'alcoolisme... ou plutôt le manque d'alcool.

J'ai vu mon  anniversaire passé, ainsi que quelques soupers entre amis et un party de Noël. Encore et toujours ce même sentiment... Celui d'être à une coupe de vin de tout le monde. Vous savez cette coupe de vin, cette petite consommation qui vous met "dans le coup". Celle qui permet de passer plus facilement au-delà de votre heure de coucher habituelle, qui vous met un peu de swing dans les jambes et même dans la langue. Celle qui vous permet de sourire pour vrai devant celui ou celle qui est tombé dans le vinier ou dans le gros fort...

J'ai déjà bien peur pour ma future fille. Si je lui transmettais ce goût pour l'alcool! Je n'en ai aucunement pris, mais mauduss que j'aimerais ça! Je vois les fêtes arriver et je songe déjà au fruit défendu! J'ai peine à comprendre comment me vient cette envie. J'ai vécu les fêtes enceinte, il y a deux ans. Jamais je n'ai eu ce goût de goûter, de sentir et d'apprécier ce petit liquide. C'est peut-être que j'ai fêté Noël à 38 semaines de grossesse et le jour de l'an à 39! Rendu là on pense davantage à l'état des routes et l'état de notre chum si c'était LE moment!

Dans une semaine, je tiendrai aussi le registre de mes consommations bien à jour, et évidemment, sans alcool. Je vous souligne que l'ingestion des liquides d'une femme enceinte n'est pas si simple. Tout d'abord, on dirait que tous les "drinks" sans alcool, l'ont remplacé par une quantité astronomique de sucre. Vous saurez qu'une consommation excessive de sucre, de victuailles des fêtes, additionné au manque de sommeil, vous avez la recette parfaite pour un lendemain de veille réussit. D'autant plus que même si vous choisissez de boire de l'eau, le manque de sommeil se trouvera expliqué par les 4 pipis de votre courte nuit.

Je terminerai ce post sur une petite note moralisatrice et tout à fait réaliste. Comme si je m'entendais me dire à moi-même:

"Tu l'sais ma chère, c'est pour une bonne cause! C'est rien un petit verre de moins pour avoir un enfant en santé! De toute manière, un peu d'eau et un peu de fatigue, ça n'a jamais fait mourir personne. Combien de filles rêveraient de se flatter la bedaine le soir de Noël en buvant du jus? Tu te plains pour rien! Profites-en donc là! Elle n'est pas tannante pendant qu'elle est là!"


Bon, je vous laisse, je vais aller prendre mon tier de verre d'eau d'avant dodo!


samedi 17 décembre 2011

Patience... à venir!

C'est fou comment une mère avec un appareil-photo fait passer en deuxième les besoins de son enfant... Louloute est totalement désemparé, il hurle, et moi... je prends des photos! Mère indigne!


J'entends grogner dans l'entrée. Les voitures sont déposées et Louloute fait face à un grave problème. La chaussure ne veut pas se tasser pour le laisser fermer comme il faut la porte. Il a beau utiliser toutes ses forces, rien à faire. On peut lire la catastrophe dans son visage. 

Fort heureusement, après avoir rit et l'avoir pris en photo, maman accourt, enlève la méchante chaussure et en profite pour présenter "Madame Patience" cette grande inconnue encore... 

C'est reparti, les voitures bien en main, on retourne aux occupations habituelles!

Richesse

Ce soir, je me sens particulièrement riche...
Je me sens riche de pouvoir relaxer, additionner et profiter des petits bonheurs de ma soirée.

J'ai réussit à laver, mais surtout à faire sécher à temps mon pantalon de pyjama préféré pour pouvoir le remettre encore ce soir... il est si confortable. J'ai tamisé les lumières de la cuisine, juste assez pour qu'on ne voit plus l'amas de vaisselle dont je remets la disparition depuis deux jours. Je suis assise au salon avec mon portable, avec pour seul éclairage, mon sapin de Noël, si prestigieux au milieu de la pièce, mon foyer (... électrique!...) et une chandelle à la vanille sur la table. J'écoute de la musique de Noël "quétaine"... Patrick Norman pour ne pas le nommer! Mes bas de Noël, au nombre de trois, autant que le nombre d'habitants de la maison, sont accrochés au foyer (encore électrique!). J'entends la trotteuse de l'horloge se charger de compter le temps. Malgré la musique, l'horloge et le subtil moteur du foyer (électrique!), j'entends le calme et le silence. Ceux qui font qu'on est si bien chez soi et qu'on est si bien seul une fois de temps à autre.

Je suis juste bien, et je l'apprécie. Merci la vie pour cette dose d'appréciation, ce calme et cette soudaine reconnaissance.

jeudi 15 décembre 2011

L'enfant de ma télé

Hier soir, un peu de retard sur notre routine habituelle, en raison d'une marche en famille dehors et d'un bain avec maman.

Les enfants de la télé commence et Louloute est assis entre ses deux parents devant la télé, gobelet de lait entre les jambes. Nous, les parents, essayons de profiter de sa présence, papa en se collant sur lui, moi en glissant une main sur sa petite jambe.

Voilà Louloute qui tape des mains. Je crois d'abord aux effets d'une récentes comptines pratiquées ensemble. Je n'y suis pas du tout! Louloute applaudit en même temps que la foule, aux salutations de l'animatrice, à l'arrivée des invités, après  les extraits... Un vrai petit singe savant, et surtout très drôle!

La première pause publicitaire arrive et je regarde fiston en disant tout haut:
"Qu'est-ce qu'on va faire avec toi Raphaël?"
 Je me demande alors comment nous allons réussir à le convaincre d'aller se coucher quand il est si bien entre nous deux. Il serait plus vrai de dire "Comment on va faire pour aller te coucher, on est si bien tous les trois!?".

Notre petit singe savant pointe alors sa chambre, bouge les fesses pour descendre du divan et s'y dirige. Même avec l'imposition d'un arrêt à la salle de bain pour un brossage de dents, il ne dit pas un mot et plonge dans les bras de Morphée sans aucune opposition. Honnêtement, je suis impressionnée, et surtout, très gâtée!
Bonne nuit mon amour! xxx

dimanche 11 décembre 2011

Moments obscurs

J'ai déjà partagé sur ce blogue le fait d'avoir travaillé au terrain de jeux. Comme si je n'en avais pas eu assez, à la fin de mes études, j'ai décidé, le temps d'un été, d'être accompagnante pour un enfant "spécial".

Spécial dans le sens de "pas comme les autres", super brillant, souriant, intéressant, mais avec une perception de ses pairs et des règlements un peu différente de la nôtre. Un beau bonhomme de 5 ans, que je nommerai Flash, comme dans Flash MCQuenn, son idole de l'époque.

Un jour, mon Flash a fait quelque chose que j'avais trouvé vraiment particulier. Dans un moment de désorganisation assez avancé il m'avait dit des choses très précises. En criant et en pleurant, il avait souhaité pouvoir me découper en petits morceaux et me tirer à la poubelle... et il s'était repris: ce n'était pas dans la poubelle qu'il souhaitait me voir, mais plutôt dans la toilette, et pouvoir tirer la chasse d'eau.

Étonnamment, ce moment était une grande percée, un avancement en quelque sorte. Il verbalisait sa colère plutôt que de la transformer en coups et en gestes. Fort heureusement, je suis faite d'un matériel assez résistant pour faire face aux déchirures (jusqu'au jour de mon accouchement...) et aux possibles blessures des paroles d'un enfant de 5 ans.

Tout ça pour dire, que j'ai pensé à Flash hier... J'ai eu dans ma tête des images et des idées impossibles. Mais comme j'ai analysé le tout il y a 5 ans, je crois que ces images sont saines et surtout libératrices.

Louloute m'a mis à "boutte" comme on dit. Après le refus de la sieste, ce fut le refus de revenir du parc... Un seul coin de rue à faire, qu'il a fait dans mes bras, moi à forcer comme une démone pour le ramener, lui ramant évidemment à contre-sens. Le tout avec une mini-poussette dans laquelle je ne suis plus capable de l'attacher pour revenir, et une petite soeur qui empiète sérieusement sur ma forme physique ces jours-ci.

J'ai pensé à Flash qui voulait me découper en petits morceaux... et j'ai aussi pensé que les enfants font ressortir le plus beau et le plus mauvais de nous-mêmes. Je suis restée une bonne mère, jamais mes gestes ou mes paroles ont été déplacés, mais il m'a mis "à boutte"... En le couchant au retour, je lui ai dit, comme je dis à mes élèves dans les situations extrêmes, "Je suis trop fâchée, je ne veux pas te parler maintenant". Je suis allé "décanter" le tout...

Fort heureusement, rien de tout l'amour que j'ai pour ma grosse Louloute n'a été abîmé. J'en ris d'ailleurs aujourd'hui. C'était une première fois, mais sans doute pas une dernière...

Aux mamans ou aux futures mamans qui me lisent, vous penserez à moi quand vous aurez envie, pour vrai, de transformer vos petites bêtes en mille morceaux.




mardi 6 décembre 2011

L'amour plus fort

Merci la vie pour cette belle promenade dehors!

Merci Mère Nature, en ce 6 décembre de me permettre cette balade si facile dehors. Pas de danger de tomber, la poussette avance seule avec une petite poussée sur cette chaussée humide à peine. Merci pour ce gazon qui reverdit presque, parmi ces décorations de Noël. Merci de garder intacts mes lunettes de soleil bien rangées et de permettre que mes jeans ne soient pas mouillés jusqu'aux genoux au retour.

Merci mon congé de pouvoir prendre du temps pour aller dehors avec mon fils. J'aime pouvoir lui expliquer pourquoi nous n'allons pas au parc ou dans la direction vers laquelle il aimerait aller. C'est si simple de lui dire que nous n'irons pas à l'épicerie parce que nous n'avons besoin de rien. Ce n'est pas plus compliqué puisque c'est le seul magasin sur notre route. Il est si patient et compréhensif.

Merci mémoire sélective de me faire oublier que Louloute s'est encore désorganisé sur le même coin de rue. C'est encore au même endroit qu'il a fait le "bacon" sur la chaussée, qu'il a pleuré pour débarquer, pleuré couché parterre, s'est tortillé pour ne pas rembarquer et a hurlé pendant la demi-heure suivante... Merci la vie de m'avoir donné un fils qui UN JOUR saura peut-être ce qu'il veut, comment le dire et comment gérer sa colère!

Merci à tout cet amour qui est toujours aussi fort malgré les punitions, les saisies et les ultimatums. C'est quand même en mangeant tout seul, sans t'obstiner, tes patates pilés avec des carottes dedans (faut vraiment que j'ai un foetus et un jeune enfant à nourrir pour ingérer ça!) que tu as regagné mon amour. C'est aussi en me sacrant un plein visage un bec morveux  baveux et en faisant semblant que tu portes une petite moustache avec ton doigt que tu as fait vibrer l'amour si vrai que j'ai pour toi.

Je retournerai donc en poussette avec toi, pour nous faire plaisir, et attendrai avec amour ces moments de tumultes entre nous deux en me disant qu'un jour tu seras passé à autre chose.

Ah oui, si la mémoire me manquait: ton camion de pompier est sur la galerie, tes autos dans le haut du garde-robe d'entrée avec ton petit camion et tes blocs de plastique... ah non, c'est vrai, tu les as encore! Faut bien tenir le registre des saisies.


lundi 5 décembre 2011

Directement de la Suisse...

J'étais justement à me demander sur quel sujet j'allais faire mon prochain billet, assise à cet instant devant mon ordinateur quand, il y a à peine un moment, le téléphone sonne!

- "Oui Allo!?"


- "Bonjour madame, je suis monsieur Untel. Je vous appelle du Laboratoire cosmétique Machin-Truc, directement de la Suisse. Nous menons une enquête sur l'état de la peau des gens. Alors, madame, j'aimerais tout d'abord savoir comment vous trouvez la peau de votre visage. Grasse, mixte ou sèche?"

Est-ce que c'est moi qui n'est pas normal ce matin mais..... C'est quoi ça!!! Qu'est-ce que la Suisse en a à faire de comment la peau de mon visage se porte en ce lundi matin, 9h18! Au pire, demandez-moi quelle sorte de serviettes sanitaires j'utilise ou si je suis satisfaite de mon dernier savon à main! Mais la peau de mon visage à matin!

La réponse qui a donc suivie va un peu dans le même sens.

- "Vous êtes drôle vous ce matin de me parler de l'état de ma peau! Je pense que je n'ai pas le temps de répondre à vos questions. Je suis très occupée ce matin. Bonjour"

Vient alors le moment fatidique, celui à savoir si je raccroche tout de suite ou si j'écoute le prochain argument... et j'ai décidé de raccrocher tout de suite!

Je vous laisse, je suis très très très occupée avec ma quatrième brassée, mon lave-vaisselle et mon petit ménage! Bonne semaine!

vendredi 2 décembre 2011

Radotage

C'est bien connu, les parents sont les spécialistes du radotage. Imaginez-vous quand l'un d'eux fait carrière dans le domaine en plus! Je suis une vraie spécialiste de la consigne, la reformulation, le questionnement, la vérification, etc. Pour toutes ces raisons, il y aura bientôt 2 ans que je répète à Louloute les même choses: "Non", "On ne touche pas", "Viens ici", "Attention", "Regarde", et ainsi de suite.

Me voilà donc à subir le même supplice. Sans doute une préparation mentale à la phase du NON probablement imminente. Louloute répète sans cesse deux choses: "Tombé à terre" et "Papa".

"Tombé à terre" quand:
- Il tombe à terre!;
- Échappe quelque chose;
- Tire quelque chose;
- A peur de tomber à terre;
- Trouve quelque chose qui n'est pas à sa place;
- Devant une graine de quelque chose ou une céréale égarées sur le plancher de la maison;
- Quand maman échappe sa plaque de galette à la mélasse dans la porte du four (Oui tombé à terre TAB&*@$!!!)

Ce qui fait tout un paquet d'occasions pour s'écrier bien fort, et plus d'une fois à part ça!


"Papa" quand:
- Il se lève;
- Il mange;
- Il fait changer sa couche;
- Il prend son bain;
- Il joue aux petites autos;
- ...
- Il voit le camion rouge dehors;
- En voyant les souliers sur le tapis;
- En boucle, face à face avec le principal intéressé.

Je m'attends donc que la première phrase de Louloute sera probablement "Papa tombé à terre"!
J'espère juste qu'il ne se fera pas trop mal!

En attendant j'essaie de nuancer avec lancer, échapper, glisser etc. Quant au "Papa", je feins l'ignorance, autre domaine dans lequel j'excelle!